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Programme du chat noir de janvier et février 2012

jeudi 12 janvier 2012

Vendredi 13 janvier

"Tierra y libertad !" Rencontre publique sur la situation des communautes
zapatistes au Chiapas

Voilà 28 automnes que l’EZLN( Armée zapatiste de libération nationale) est entrée en action dans la clandestinité dans l’état du Chiapas au Mexique. Aujourd’hui, et depuis l’insurection de janvier 1994, les zapatistes prouvent au quotidien, à grande échelle, que vivre en liberté, dans la justice et la démocratie, en marge du capitalisme, de l’état et des partis politiques est chose possible. Jean-Pierre Petit-Gras, qui était parmi les zapatistes l’été dernier nous parlera de la situation actuelle des communautés zapatistes.

Vendredi 27 janvier

Soirée anti-carcérale en hommage a Charlie Bauer
Projection du film "Le Marathonien de l’espoir" de Martin Monge - 60 mn

Auteur de « Fragments de vie », docteur en anthropologie sociale, militant révolutionnaire d’extrême gauche, sans doute anarchiste, plus jeune condamné à mort, complice de Jacques Mesrine, infatigable opposant aux Quartier de Haute Sécurité et défenseur des droits des prisonniers… Charlie Bauer est décédé le 7 août dernier dans l’indifférence due aux véritables ennemis du système mais, nous ne l’oublions pas pour autant...
Et son combat, encore moins !
Rencontre avec des membres de L’Envolée (journal et émissions radio critiques du système carcéral et judiciaire, et du monde qui le génère).

Vendredi 3 février

ApEro-bouffe rEvolutionnaire et syndical !

L’occasion pour venir nous rencontrer et discuter de manière informelle et festive de l’air du temps, des luttes, des problèmes que vous rencontrez sur vos lieux de travail... Apportez de quoi grignoter, on s’occupe du reste !

Vendredi 10 Février

"L’argentine des piqueteros" Rencontre Avec Frank Mintz autour de son livre

Les piqueteros sont les exclus du système néolibéral (chômeurs, précaires et « employés » vivant sous le seuil de la pauvreté) qui relèvent la tête pour s’organiser et résister.
Depuis 1996-1998, ils maintiennent leurs demandes de travail juste et digne, face à la surdité et la cécité permanentes de tous les grands partis politiques (fidèles aux multinationales), la pauvreté endémique, le chômage et les emplois précaires, la gâchette facile des différentes polices.
C’est l’instinct et l’expérience de la survie qui les obligent à militer ensemble, à chercher à construire un autre présent pour un autre futur.